Tout commence par les doigts. S’il y en a cinq de chaque côté, c’est bon signe et plus simple à enfiler… Le choix d’une paire de gants est guidé par diverses exigences, à commencer par le type de parcours effectué. Ainsi nous avons scindé cette sélection en trois catégories :
- l’hiver
- la ville
- et la route
En contactant les fabricants vous pourrez trouver le revendeur le plus proche.
Les gants pour l’hiver
En conditions extrêmes on finit toujours par se geler le bout des doigts. Manchons et poignées chauffantes ont encore leur raison d’être. Il est vrai que la plupart des fabricants ne garnissent que chichement leurs gants d’isolants performants. Pourtant, l’étiquette qui en stipule la présence est bien en vue.
Les gants pour la ville
L’aération et la souplesse sont déterminants en terme de confort, embouteillages et manipulation intensive des leviers obligent. Doublure, serrage et manchette réduits à la portion congrue. Exit les blindages à gogo. Les chutes en agglomération s’effectuent souvent à faible vitesse et comportent peu de glissades. Attention aux séduisants tons clairs, ils se ternissent en deux temps trois mouvements sous l’effet de la pollution et de la pluie. Compte tenu du peu de polyvalence de ces modèles, choisir le moins onéreux est alors la meilleure recommandation.
Les gants pour la route
Manchette et serrage reviennent à l’honneur. La première protège à la fraîcheur de la tombée du jour, le second évite au bitume de gommer sa ligne de vie en cas de glissades. Le cuir reprend alors du poil de la bête avec une plus belle épaisseur. En fonction de l’efficacité de la doublure, ils peuvent autoriser une utilisation en mi-saison.